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Les étudiants ont très souvent besoin d'aide pour démarrer dans leur nouvelle vie. Logement, nourriture, frais universitaires sont bien souvent une source de précarité pour les jeunes. Cohabiter au sein d’une famille d'accueil en économisant un loyer leur offre une solution idéale et économique tout en étant installés à proximité de leur campus. Du côté de la famille d’accueil, la présence d'un étudiant présente de nombreux avantages en échange : baby-sitting pour les couples avec enfants, soutien scolaire, langues…

Jeune fille écrivant Family sur un tableau noirUn mode de vie nouveau et original !

Vous avez un cœur en or, c'est sûr ! L’idée vous est venue lorsque Clément votre fils vous a présenté son nouveau camarade de classe Matheo. Le jeune homme, venu du Chili pour poursuivre ses études, était d’un respect épatant. Il vous raconte comme son arrivée au pays fut angoissante, jusqu’à ce qu’il rencontre Mélanie, qui l’a si bien accueilli dans sa famille.

…Où peut-être était-ce Sylvie lors de vos vacances à Punta Cana, vous démontrant la facilité avec laquelle elle conversait en anglais depuis qu'elle avait hébergé Maureen chez elle. Votre amie de longue date vous a-t-elle convaincue ? Dans tous les cas, vous avez franchi le pas cette année et avez décidé de réorganiser votre quotidien en accueillant un étudiant chez vous. Mais par où commencer ?

 

S’organiser et anticiper

L'accueil d'un étudiant implique qu'il faudra apprendre à s'organiser avec une personne

En ce temps de pandémie où transparaît plus que jamais la nécessité de maintenir le lien social, tant amical que familial, les étudiants, en début de vie autonome, sont les premiers à souffrir de cette situation.

Etudiante souriante dans la rueLes étudiants touchés de plein fouet

En effet, les confinements successifs, les cours à distance, l'impossibilité de créer de nouvelles connaissances par le biais des études, l'incertitude de trouver un emploi étudiant pour subvenir à ses besoins, des projets incertains, le tout enfermé dans des petits logements, tous ces éléments viennent à créer un sentiment de forte solitude, et des angoisses difficiles à surmonter au fil des semestres.

Le budget impossible à tenir malgré quelques coups de pouce

A cela s'ajoute un autre point central dans cette nouvelle vie indépendante que va découvrir au quotidien l'étudiant, qui est celui de la gestion financière. Avec la pandémie, il n’est pas possible de fermer les yeux sur le fait que l'accès aux petits jobs devient de plus en plus difficile, augmentant la précarité des jeunes étudiants ; 20% des étudiants vivent sous le seuil de pauvreté.

On soulignera tout de même les coups de pouce du gouvernement pour améliorer le quotidien. Les aides se font autant au niveau alimentaire tel que les repas à 1 euro dans les restaurants CROUS , qu’au niveau des logements avec quelque 200 chambres d'hôtel gratuites distribuées.. Ils pourront aussi se tourner vers des lieux de soutien psychologique tel que les CMP; ou la création du site SantéPsyEtudiant mis en ligne par le Ministère de l’Enseignement supérieur.

Du côté des associations, on peut remarquer la levée de fond pour laquelle se sont alliés le Secours Populaire et la Stud'Force, association étudiante, qui ont mis en avant la problématique alimentaire des étudiants dans un live Twitch, plateforme où de nombreux événements se déroulent pour mettre en avant la condition des étudiants en France.

Et pour les étudiants en mobilité

Mais, malgré tous ces initiatives, cette autonomie nouvelle et prometteuse prend la forme d'une vie solitaire, pesante pour tous les étudiants. D'autant plus pour les ERASMUS, qui se retrouvent

La précarité des étudiants est constatée depuis des années en France.

Le sujet est évoqué régulièrement mais quelles sont les solutions apportées, où sont les idées nouvelles qui permettront à ces jeunes d'étudier dans des conditions décentes ? 

Etudiant qui marche seulUn constat alarmant

Aujourd’hui, le monde étudiant est extrêmement diversifié et particulièrement mobile. Les supports comme Erasmus, Parcoursup ou d’autres encore font que les étudiants n’hésitent pas à quitter la sphère familiale pour étudier ailleurs en France ou bien à l’étranger. Beaucoup d’entre eux y sont même contraints s’ils veulent continuer car leur candidature est acceptée mais dans un établissement loin de chez eux ; et ils sont nombreux dans ce cas là.

C’est ainsi qu’ils peuvent rencontrer la précarité durant quelques années, soit une très mauvaise qualité de vie quotidienne. Ce risque résulte de l’agrégation et de l’articulation de plusieurs facteurs (mauvaise qualité du logement, faible revenu, alimentation déséquilibrée…). Il est plus ou moins important selon les étudiants, notamment au regard de leur degré de dépendance/indépendance vis-à-vis de la sphère familiale.

La famille, quant à elle, a beaucoup évoluée depuis quelques années ; elle s’est fortement complexifiée avec l’accroissement des familles monoparentales et recomposées qui du fait n’ont plus forcément le rôle de protection financière nécessaire à l’égard du jeune parti étudier ailleurs.

Alors les étudiants ne font plus qu’étudier. Ils travaillent à temps partiel pour la plupart, à temps plein pour certains afin d’assumer leur vie étudiante ou d’y participer lorsque la famille ne peut la prendre totalement en charge. 

Leurs modestes revenus sont nécessaires pour remplir le réfrigérateur, payer le loyer et les diverses factures (eau, gaz, électricité, téléphone…), les frais de déplacements, les vêtements, et bien sûr, les frais d’étudiant (inscription, livres, et matériels divers comme un ordinateur). Chez CoHomly nous côtoyons beaucoup d'étudiants et malheurusement (ou heureusement) nous savons qu'ils fréquentent les Restos du coeur et qu'ils dorment chez les uns ou les autres comme ils peuvent.

Pour assurer tant bien que mal le budget, ce sont bien souvent des doubles journées qui sont organisées et les week-end ne sont plus synonyme de révision, repos ou distraction… Ce double rôle social augmente le risque d’échec aux examens, ce qui les amène parfois à

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Chaque année, pour les étudiants, c’est le même refrain. Tout d’abord il faut préparer la rentrée : outre les frais d’inscription et le matériel pédagogique, il faut penser aux cotisations de sécurité sociale, complémentaire santé et autre médecine préventive. À cela s’ajoute la plupart du temps, pour le logement, les frais d’agence et l’assurance. Rien que pour les frais spécifiques à la rentrée, plus de 1000 € sont dépensés en moyenne par les étudiants. Mais il reste encore les frais récurrents : le loyer, l’alimentation, les abonnements téléphone et Internet, les transports, les produits d’hygiène et d’entretien… L’étudiant moyen dépense plus de 1000 € par mois et c’est sans compter les loisirs ! On comprend donc facilement pourquoi plus de 25% des jeunes tentent de cumuler études et emploi.

Le job étudiant peut être bénéfique

Que ce soit par nécessité ou par choix, cumuler études et travail peut être positif. De façon générale, on peut citer 3 avantages à l’emploi étudiant :

·      Avoir les comptes « dans le vert »

Comme précisé précédemment, 1 étudiant sur 4 cumule études et travail par nécessité. Mais, au-delà de cela, de nombreux jeunes choisissent de travailler sur leur temps libre tout simplement pour « avoir un peu d’argent de côté ». Cette sécurité financière permet d’être moins anxieux au quotidien, de ne plus stresser concernant les frais récurrents et de pouvoir mieux se concentrer sur leurs études.

·      Débloquer le CV

Le manque d’expérience est un motif de refus fréquent pour les jeunes diplômés en recherche d’emploi. Même avec un très bon parcours scolaire, validant les capacités théoriques, un CV sans expérience pratique refroidit plus d’un recruteur ! Le job étudiant permet donc

Une maman solo accompagne sa fille à l'écoleComment rester zen entre ma carrière professionnelle et la gestion de mes enfants ? Sur qui puis-je compter quand je dois rentrer plus tard ? J’aimerais être plus serein(e), tranquilisé(e) en ayant davantage d’aide mais mon budget n’est pas extensible !

Le quotidien d’un papa ou d’une maman solo n’est pas simple ; entre son emploi du temps à gérer, sa présence auprès des enfants, le travail, les transports, le budget...On peut vite craquer et baisser les bras.

Chez CoHomly nous nous mobilisons très sérieusement auprès de ces nombreuses familles car nous savons que nos étudiants peuvent être une vraie source de bien-être, de tranquillité et de sécurité pour tous ces parents solos.

 

Être une famille monoparentale en France

Qui sont ces familles ?

Tout d’abord une réalité : près de 45% des mariages se transforment en divorce.

Qu’elles soient choisies ou subies, les séparations entraînent des baisses importantes du niveau de vie (30 % en moyenne). Les situations de grande vulnérabilité ne sont donc pas rares, avec une famille monoparentale sur cinq vivant sous le seuil de pauvreté en France.

Si la souplesse du « pacs » attire de nombreux couples, il est aussi une source de précarité en cas de rupture. En effet, le contrat se fait et se défait très simplement, sans droit à une indemnité compensatoire. Le partenaire le moins favorisé n’a que très peu de marge de négociation et se retrouve souvent dans une situation précaire avec un ou plusieurs enfants à charge.

Pour plus de 80% des familles monoparentales, le parent isolé est une femme. Cela s’explique d’une part parce qu’en cas de séparation, elles héritent de la garde plus souvent que les pères ; d’autre part parce qu’elles mettent plus de temps à retrouver un conjoint que les hommes. Même si cette situation est souvent passagère, elle n’en demeure pas moins difficile à gérer. Les soucis du quotidien et la solitude pèsent encore plus quand on n’a personne avec qui la partager.

Des chiffres en constante progressionPapa solo

D’après la définition retenue par la plupart des études, on parle de famille monoparentale dès lors qu’un parent élève seul son ou ses enfants. Le plus souvent, il s’agit d’enfants de moins de 18 ans, mais certaines données prennent en compte les enfants jusqu’à leurs 25 ans. En une vingtaine d’années, le nombre de ces familles monoparentales a doublé, passant de 950 000 en 1990 à 1,8 million en 2013 et 2 millions aujourd’hui, d’après les chiffres de l’Insee. Elles représentent plus d’une famille sur cinq. En cause bien sûr le nombre de séparations et divorces (8 familles monoparentales sur 10), ce qui implique que 18 % des enfants sont élevés par un seul de leurs parents. Le constat est aussi que 85% des familles monoparentales sont des mamans.

Une monoparentalité qui conduit souvent à la pauvreté

La monoparentalité implique des difficultés d’organisation et entraîne une baisse certaine du niveau de vie. Près de quatre familles monoparentales sur dix vivent aujourd’hui sous le seuil de pauvreté et plus de 2,8 millions d’enfants sont en situation de pauvreté.

Ces difficultés sont assez simples à expliquer… Tout d’abord, après la séparation ces familles vivent avec un seul revenu. Par définition, une famille monoparentale est plus vulnérable. Ensuite, la nécessité d’être disponible pour s’occuper des enfants conduit bien souvent

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